Le pays des |
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oungalïls
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Dans les monts Houngürs
souffle parfois l'Huluzül, un vent si âcre qu'il brûle la
peau des hommes et rend malades les animaux. Des harpes géantes dressées
sur les crêtes et au sortir des défilés annoncent sa venue.
Toutefois, un proverbe de ce pays dit qu'il vaut mieux s'exposer dix jours
au souffle d'Huluzül que d'encourir un seul la colère des seigneurs-brigands
qui règnent sur cette contrée.
Albinius est médecin. Il
franchit le défilé des Portes Ombrageuses pour herboriser dans
les monts Houngürs, "entre le pays de Jade et
les montagnes de la Mandragore". Le Seigneur Sordoghaï
le fait quérir par trois de ses cavaliers et lui demande son aide…
mais entre liberté et amour, le médecin aura grand peine à
choisir et fera deux promesses (diamétralement opposées). Parviendra-t-il
à les tenir ? Echappera-t-il à l’ire du seigneur rouge
et aux lances brûlant du feu de Saint-Elme ?
On attend la double page des illustrations qui termine chaque récit avec impatience et délectation : dans quelles directions nos pérégrinations vont-elles se poursuivre ? Quel sera le chemin du rêve, celui qui s’élance dès la fin de l’histoire ?
Pour répondre au questionnaire sur le pays des Houngalïls (forme 1, forme 2)
Du pays des Amazones aux îles Indigo / François
Place .- Casterman, 1996.
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Créé
en Juillet 2002
Dernière mise à jour : 19/10/2002